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« Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei

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Lennon-Arizona N. Wood
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Lennon-Arizona N. Wood
« Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei Tumblr_lwohkclVgr1qb0ghpo1_500
Âge : vingt-cinq ans.
Situation : en instance de divorce.
Occupation : médecin dans son propre cabinet. fait quelques heures à l'hôpital de la ville.
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▪ Quote : l'amour ne commence, ni ne finit comme nous le croyons. l'amour est une bataille, l'amour est une guerre, l'amour grandit.

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MessageSujet: « Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei « Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei Icon_minitimeDim 29 Jan - 16:27

« Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei HOD-hart-of-dixie-25888930-250-148
« Quand le seul remède, c’est de la vodka. »

Neuf heures et quarante deux minutes. Une heure tardive à laquelle j’avais pris l’habitude de sortir du travail depuis le début de la semaine. Les urgences devaient seulement me prendre quelques heures par semaine afin d’aider le personnel. Mais non, dès que je fermais mon cabinet, j’y filais tout droite c’était mon échappatoire. Une raison de ne pas rentrer à la maison, de ne pas avoir le chamboulement de ma vie personnelle. Voir certains objets me donnait des pincements au cœur et me faisait ressentir idiote d’avoir aimé un homme qui ne devait certainement pas m’aimer. C’est sûr que je ne le dis jamais, que chaque fois qu’on me parle de lui, je joue à celle qui n’a pas été blessé et qui s’en remet à merveille. Pourtant, c’est faux. J’aimerais pouvoir avoir la force d’avancer sans me soucier de cette partie de ma vie. Quelques années à se croire sur un petit nuage, à ne soucier de rien. Foutaise. L’amour n’est qu’un mensonge, un manipulateur, une sensation qui vous aveugle de la réalité des choses. On donne tout puis tout s’évapore d’un claquement de doigts. Quelques secondes suffisent pour détruire ce qu’on croyait gagner d’avance. Et me voilà à prier qu’une urgence arrive alors que je sors de l’hôpital. Rien que pour retarder une échéance qui arrivera. Pourquoi tant de prières idiotes alors qu’il me suffit d’aller au bout de la rue et de rentrer dans ce bar. L’alcool guérit tous les mots comme disait grand-mère. Je crois qu’elle disait plus cela pour trouver un truc pour les amours difficiles. Il faut bien un début à toute chose et ce soir, je ne serais plus celle qui souffre un cause d’un mec. Je serais celle qui sait rebondir et tirait un immense trait sur le passé. Pas facile mais toujours possible.

Et me voilà assise au comptoir d’un bar un jour de semaine. Irresponsable, le mot raisonne dans ma tête. On peut dire qu’elle a raisonne. Mais qu’est-ce que je crains. Avoir un mal de crâne horrible en me levant, ne pas entendre mon réveil. Rien de bien dramatique. Retirant ma veste, je regardais autours de moi. Ce n’était pas si mal comme endroit. Mes deux mains sur le comptoir, je commandais une vodka avec des glaçons. « Tenez Mademoiselle. » J’attrapais mon verre et en bue la moitié d’une seule traite. Une affreuse grimace se dessina sur mon visage. Comment j’avais pu adolescente en boire autant ? Je secouais la tête en fronçant les sourcils. J’avais perdu l’habitude de boire de l’alcool fort, la seule chose que je consommais habituellement était du vin. Cependant, je n’étais pas prête à me laisser abattre par ce gout plutôt immonde et fort. Le reste du verre passa un peu mieux mais sans plus. J’en recommandais un autre sous le regard rieur du barman. Le troisième fut celui qui se répercuta le plus dans mon organisme. J’étais entrain de rire avec l’homme d’à côté, une sorte de vieille ivrogne qui tenait à peine debout. A plusieurs reprises, j’ai bien cru qu’il allait chavirer de sa chaise. Je ne pû m’empêcher de rire. Cependant, j’aperçus une tête plutôt connu. J’avais soigné cet homme qui avait fait une overdose. J’avais déjà eu affaire à ce genre de cas mais avec lui, je n’avais pas bien compris la chose. Ma curiosité avait été mise à rude épreuve. Mais je n’avais rien pû tirer de lui. Sautant de ma chaise, je marchais vers le bout du comptoir où il était entrain de servir un client. C’est avec difficulté que je me hissais sur le tabouret en essayant de ne pas tomber. « Vous êtes Monsieur Lipovsky ? » dis-je en avançant mon corps sur le comptoir. Je n’oubliais jamais un nom et encore moins quand la personne que je soignais me rendait curieuse. On était à l’hôpital peut-être que j’arriverais à lui sortir quelques petites informations et à l’aider un peu. Même si je n’étais pas un état très respectable en ce moment même. « J’espère que vous vous êtes bien remis de votre petit problème. » lâchais-je doucement afin de rester un minimum discrète. Les gens n’avaient pas à savoir la vie des autres surtout que c’était mon devoir que ça reste secret. « Vous savez, je peux vous aider. Je ne suis pas être comme les autres médecins… » Ma phrase resta en suspens alors que moi, je me retrouvais au sol. Dans la vie de tous les jours, j’étais d’une maladresse indescriptible. Alors que dans mon métier, tout allait pour le mieux et que ma précision était parfaite. Certaines choses sont incompréhensible.
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MessageSujet: Re: « Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei « Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei Icon_minitimeVen 3 Fév - 0:10

Quand le seul remède, c’est de la vodka. △ Épisode1X01

La soirée s’annonçait longue. Alekseï était derrière son comptoir en train de servir quelques verres. Il ne savait, d’ailleurs pas pourquoi il était là ce soir. Le russe n’avait pas la moindre envie de se trouver ici. Un soupir passait ses lèvres alors qu’il posait un verre qu’on venait de lui commander. À chaque fois qu’il posait son regard sur quelqu’un, c’est comme s’il sondait la personne qui se trouvait en face de lui. Le russe avait un don pour lire facilement les personnes, un don ou une malédiction. Difficile à dire. Pour les autres ce devaient être une malédiction. Se faire deviner par le diable en personne, c’était quelque chose d’horrible. Celui qui allait tenter de trouver la moindre de vos faiblesses pour vous manipuler parfaitement. C’est ce qu’il était. Il trouvait toujours ce petit quelque chose qui lui servait à vous rendre plus bas que taire. Va savoir comment, va savoir pourquoi, c’est ce qu’il faisait ici. Il cherchait à vendre sa drogue. Il cherchait à trouver les personnes en manque, les personnes qui prenaient cette fameuse drogue qu’il vendait parfaitement. Pour sa part, il était défoncé en permanence. Quand il ne l’était pas, il devenait plus vulnérable, c’est pour cela qu’il prenait soin de ne jamais manquer de cette fameuse poudre blanche. Il savait. Il savait ce qu’il était sans elle et ce qu’il était avec elle. Il savait qu’il ne voulait plus s’attacher, qu’il ne voulait plus s’ouvrir et la drogue était la meilleure arme pour cela. Un verre contre le comptoir. Un autre. Il faisait quelques mélanges et s’enfilait un shooter de vodka de temps en temps. Il était défoncé. Il buvait des verres. Il s’en foutait de se faire virer. Il faisait ça depuis le début et il était encore là.

Le russe se tournait de dos au bar. Il parlait avec une jeune femme l’instant d’avant, il allait lui donner son verre et quand il se retournait, il posait son regard sur une autre. Une qui venait de lui adresser la parole. Il se souvenait d’elle, elle l’avait traité alors qu’il faisait une overdose, la première et surement la dernière de sa vie. Il était endurant à la drogue, ce genre de chose ne devait pas lui arriver. Il la sondait pendant un moment et s’approchait d’elle pour se poser devant elle, de l’autre côté du comptoir. Un soupir passait ses lèvres alors qu’il prenait appuie pour poser son regard directement dans celui de la demoiselle. Il n’était pas un tendre. Il ne voulait pas de son aide, ni de quoi que ce soit d’autre. « -C’est ça oui.» Il se retournait alors que quelqu’un lui faisait signe, il prenait la commande en écoutant attentivement ce que lui disait la demoiselle. Il revenait vers elle et se penchait un peu vers elle pour la regarder. « -Je m’en remets très bien. Merci.» Son ton de voix était sec. C’était particulièrement clair qu’il ne voulait pas parler de cela avec elle et qu’il ne voulait pas de son aide. Ses yeux se levaient au ciel quand elle lui parlait dont elle pouvait l’aider. De l’aide. Il n’en avait pas besoin. Il était responsable et maître de ses actes. Il n’avait pas besoin d’une femme pour lui dire quoi que ce soit. La seule en qui il avait eu confiance avait filé avec tout son stock alors qu’il dormait. La confiance ne faisait plus vraiment partie de sa vie et il ne faisait rien pour gagner celle des autres non plus, ou il les manipulait pour obtenir ce dont il avait besoin.

Alekseï allait dire quelque chose, mais la petite brune tombait littéralement en bas de sa chaise. Il voyait bien le genre de personne qu’elle pouvait être dans la vie. Un petit sourire prenait place sur lèvres alors qu’il faisait le tour du comptoir pour venir rejoindre la jeune femme de l’autre côté. « -Je n’ai pas besoin de votre aide et je pense que c’est plutôt vous qui en avez besoin.» Il se penchait vers elle. Son regard se posait une nouvelle fois dans le sien. « -Vous êtes médecin et vous venez ici un soir de semaine, c’est surement parce que quelque chose vous poser problème dans votre vie et vous tentez de l’oublier en prenant quelques verres.» Pause. « -Mais ça ne semble pas fonctionner.» Il finit par l’aider à se relever avant de retourner derrière le bar et prendre un autre verre de vodka. Ses yeux se posaient sur elle. Est-ce qu’il avait tort dans ce qu’il venait de dire? Surement pas. Rare était les fois où il se trompait.


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MessageSujet: Re: « Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei « Quand le seul remède, c’est de la vodka. » pv aleksei Icon_minitimeMer 8 Fév - 10:39

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« Quand le seul remède, c’est de la vodka. »

J’aimais mon travail et le problème, c’est que je l’aimais peut-être trop par rapport au reste. J’arrive à me souvenir de pratiquement tous les noms des personnes qui sont un jour passait par mon cabinet ou à l’hôpital alors que je n’arrivais pas à dire la date exacte de la rencontre avec mon ex-mari. Le soir, je faisais des heures supplémentaires et m’occuper d’urgence alors que j’aurais dû passer du temps avec lui. Il aurait dû être ma priorité et non pas le second plan. En quelque sorte, c’est moi qui avais fait en sorte qu’il me trompe. Je l’avais poussé à aller dans les bras d’une autre. Ne sois pas idiote, Lennon. C’est lui le salaud. Je ne supportais pas vraiment l’alcool et voilà dans quel état, j’étais. En plus de ça, je sortais le grand numéro à l’un de mes patients sur son lieu de travail. Ce n’était pas très glorieux comme réaction. Je le regardais faire le tour du comptoir pour posait ses yeux dans les miens. « -C’est ça oui.» Je me rappelais d’un visage avec exactitude et en même temps le sien ne pourrait pas sortir de ma tête comme ça. Il avait fait une overdose. Une overdose que je trouvais parfaitement suspecte et qui avait fait naitre en moi le besoin de l’aider. Parce qu’on ne fait pas une overdose sans bonne raison. Il y a toujours une autre raison qui nous pousse à commettre l’irréparable. C’est vrai qu’il y avait les cas où les gens le faisaient à cause d’une prise trop importante sans le faire exprès. « -Je m’en remets très bien. Merci.» A la façon dont il me sortait sa phrase, il n’avait pas vraiment envie de discuter du sujet. Je suis assez bornée et du genre à ne pas abandonner facilement. Et il devait surement s’en rendre compte puisque la première fois n’avait pas suffit à me faire abandonner le combat. Les gens pensent toujours qu’ils n’ont pas besoin d’aide, que tout va s’arranger d’un claquement de doigts et que leurs problèmes fileront comme ils sont venus sans commettre les moindres conséquences. Ça ne part pas comme ça. Et ils reviennent. Ils reviennent et parfois n’arrivent pas à s’en sortir et on les perd. Je déteste perdre un patient parce que j’ai l’impression de ne pas avoir été assez forte pour le guérir.

J’étais sur les fesses sur le sol froid du bar. Tendant un bar pour attraper ma chaise afin de m’aider à me relever. Cependant, ce fus difficile. Et apparemment, ma maladresse le faisait sourire ce qui n’était pas vraiment le cas de mon côté. Mais un sourire se dessina sur mon visage afin de montrer que la chute m’était bien égale. « -Je n’ai pas besoin de votre aide et je pense que c’est plutôt vous qui en avez besoin.» Nos regards se croisèrent. C’est moi qui me mis à regarder ailleurs. Ce regard me rappelait trop celui de mon ex-mari. « -Vous êtes médecin et vous venez ici un soir de semaine, c’est surement parce que quelque chose vous pose problème dans votre vie et vous tentez de l’oublier en prenant quelques verres.» Les barmans arrivaient toujours à deviner certaines choses. En même temps, ils voyaient tellement de personnes que c’était une habitude pour eux. « -Mais ça ne semble pas fonctionner.» Il me tendit une main que j’attrapais. J’étais à présent sur mes deux pieds vacillant légèrement. Je remontais sur le tabouret en essayant cette fois de rester stable et de ne pas tanguer comme un bateau. Il me regardait toujours attendant une réponse de ma part. il se mettait le doigt dans l’œil s’il croyait que j’allais lui parler de ma vie et ma détresse qui faisait que je me trouvais ici entrain d’essayer d’oublier une relation difficile. « Pourquoi un médecin n’a pas le droit de venir dans un bar en semaine pour prendre quelques verres ? Nous sommes des humains comme les autres. On a une vie à côté de notre job. » lâchais-je vexée d’entendre sa remarque. C’est vrai que j’étais le médecin qui faisait attention à tous, qui ne faisait pas d’excès, et les gens qui me connaissaient bien le savaient. Mais lui non. Il ne connaissait rien de ma vie, rien de mon caractère, ni de ma façon de vivre. J’attrapais un verre qui trainait et le poussait vers lui afin qu’il me remplisse. « Et puis, nous ne sommes pas entrain de parler de moi. mais bien de vous et de votre problème avec » Je m’approchais de lui. « Avec la drogue.» murmurais-je pour que personne n’entend et qu’il ne se fasse pas renvoyer à cause de moi. je n’aimerais pas être responsable de ça.

(désolé pour le retard )
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