ZORAH ☮ « Tu viens ? On va braquer l'usine de Kinder, en criant SURPRISE. »

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Zorah Aelys Jenkins

featuring rosie huntington-whiteley

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nom ৩ Jenkins. prénom(s) ৩ Zorah Aelys. surnom(s) ৩ zozo, zara, à vous d'en imaginer d'autres. âge ৩ vingt-quatre ans. date et lieu de naissance ৩ le 04 mai 1988 à Barrow. statut civil ৩ célibataire, coeur à prendre. études/métiers ৩ infirmière et photographe pour le plaisir. groupe ৩ j'avance dans l'hiver à force de printemps. célébrité ৩ rosie huntington-whiteley.

→ ES-TU HEUREUX DE VIVRE A BARROW EN SACHANT QUE LE CLIMAT EST CONTRAIGNANT ?

On finit tous un jour ou l'autre par s'habituer aux températures glaciales de Barrow. Pour tout vous dire ce froid, cette neige constante ne me dérangent absolument pas. J'ai toujours vécu ici, je ne me verrai pas vivre ailleurs que dans cette merveilleuse ville. Le charme de celle-ci n'existerait plus si le climat venait à se réchauffer. Et puis les températures ne sont qu'un petit détail parmi tant d'autres, c'est tellement agréable de s'allonger sur son canapé devant la cheminée qui crépite, rien de tel pour se réchauffer.

→ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS Y VIS-TU ?

Tout comme ma mère, je suis née ici, j'ai grandi ici, je n'ai jamais quitté cette ville. Elle fait partie de moi, de ma vie. C'est le seul endroit où je me sens bien. Je connais tous les recoins de celle-ci comme ma poche. C'est ici que j'ai eu mon premier baiser, ma première déception amoureuse, ma première fois, mon premier job... Barrow regorge de souvenirs pour moi, je serais incapable de partir et les laisser derrière moi.

→ QUAND LES TRENTE JOURS DE NUIT ARRIVENT A BARROW, PREFERES-TU RESTER OU PRENDRE L'AVION POUR UN AUTRE ETAT ?

Pourquoi fuir ? Non, je reste. Je ne peux pas abandonner toute ma vie ici pendant trente jours juste pour retrouver la lumière... Cela fait vingt-quatre ans que je vis ici et à vrai dire ces journées remplies de noir ne me dérangent pas... Les premiers jours peuvent être difficiles, je ne dis pas le contraire, on ne sait plus quand il est l'heure de se coucher, quand il est l'heure de se lever mais, comme tout on fini par s'y habituer.

→ QU'EST-CE QUI TE MOTIVE A RESTER DANS LA VILLE DE BARROW ?

Toute ma vie est ici, mes amis, ma famille, mon métier, voilà ce qui me motive à rester ici ! Et puis pourquoi partir ? J'aime l'ambiance conviviale de cette petite ville dans laquelle je connais quasiment tout le monde, dans laquelle j'ai mes petites habitudes et mes souvenirs...

PSEUDO/PRENOM ৩ Sweet Peach / Anaïs. ÂGE ৩ dix-sept ans. PAYS ৩ France. PRESENCE ৩ 5 jours sur 7. COMMENT AS-TU DECOUVERT LE FORUM ? ৩ sur bazzart, il y a un moment. QU'EN PENSES-TU ? ৩ sublime, magnifique, merveilleux.

TON PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO OU UN INVENTE ? ৩ inventé. CODE DU REGLEMENT ৩ Code Bon. UN PETIT MOT POUR LA FIN ৩ sex

Code:: [color=#9c8a6e][b]ROSIE HUNTINGTON-WHITELEY[/b][/color] → zorah a. jenkins

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La gamine soupira, incapable de se défaire de l'emprise que la simple vue de cette robe, à travers la vitrine de ce grand magasin, exerçait sur elle. Du haut de ses dix petites années, elle rêvait de paillettes, de gloire et d'une vie meilleure. Elle soupira une nouvelle fois, s'imaginant parfaitement, quelques années plus tard, enfiler cette robe hors de prix. La plus belle robe qu'elle n'ait jamais vu de sa vie. Dans cette robe, la plus moche des filles devait être aussi belle qu'une princesse... « ZORAH BOUGES TON C*L ON EST PAS LA POUR FAIRE LES MAGASINS ! ». Dur retour à la réalité. La prénommée Zorah quitta la merveille des yeux pour poser son regard sur sa génitrice... Cette femme épuisée par la vie. Cette femme criarde. Cette femme qui manquait terriblement de style et ne prenait pas soin d'elle. Cette femme avec beaucoup trop de kilos en trop. Cette femme qui en voulait à sa gamine de lui avoir volé sa jeunesse et sa liberté. La petite brune ne bougea pourtant pas d'un cil, détournant son regard pour retourner au pays des rêves et s'imaginer dans cette merveilleuse robe... Pourtant, ça ne dura pas bien longtemps. Du moins, jusqu'au moment où elle sentit une masse empoigner beaucoup trop fermement son poignet d'enfant et la trainer jusqu'au bout de la rue. « TU M’ÉCOUTES QUAND JE TE PARLE, OUI ?!? ». Sa mère, évidemment. La vie était dure. La vie était morose. La vie était triste. La petite avait beau se plaindre du mal qu'engendrait la pression de la main de sa mère autour de son poignet, cette dernière n'en avait rien à faire et continuait à tracer son chemin, rageusement. Elle s'arrêta quelques mètres plus loin, au moment où elles arrivèrent devant leur... voiture... du moins ce qui semblait être une voiture. Cette vieille bagnole était à l'image de tous ce qu'elles possédaient : une vraie misère. La petite brune grimpa rapidement dans la voiture, sa mère en faisant de même. Le silence, toujours le silence. Quelqu'un d'extérieur aurait pu se poser des questions quant à la capacité de cette gamine à parler. Était-elle muette ? Non, c'était simplement que depuis enfant, elle avait appris que moins elle en disait, moins sa mère portait son attention sur elle, mieux cela était. Sa mère démarra et comme à chaque fois qu'elle se retrouvait dans cette vieille voiture, alluma une cigarette, manquant d'écraser une bonne dizaine de piétons. Pour une fois, elle ne disait rien, elle ne se plaignait même pas, mais Zorah savait que ce n'était que de courte durée... elle avait raison puisque quelques secondes plus tard, à un feu rouge : « C'est quoi ça ? ». La gamine baissa les yeux, portant son attention sur le petit collier qui pendait à son cou. « Un cadeau... ». Sa voix guillerette trahissait cette peur qu'elle éprouvait face à cette mère un peu trop tyrannique. « Un cadeau ? », et elle partit à rire, se moquant ouvertement de la gamine qui se sentait honteuse tout d'un coup. « Qui pourrait bien vouloir offrir un cadeau à une pouffiasse dans ton genre ? ». Zorah avait beau avoir l'habitude de ce genre d'attaques, à chaque fois les paroles de sa mère s'imprimaient au plus profond de son âme, enlevant, à chaque mot, un peu plus du peu d'estimation qu'elle avait d'elle-même. « Nolhàn... ». Sa voix n'était qu'un murmure, un léger souffle. Le feu passa au vert et sa mère la quitta du regard, appuyant sur la pédale d'accélération. La tension était palpable. « Le gamin que j'ai vu trainé avec toi l'autre jour ? ». Nolhàn était un gamin qu'elle avait rencontré quelques années plus tôt. Un garçon. Le seul qui ne la prenait pas pour une folle dans son école. Le seul qui était venu vers elle. Le seul qui l'avait aidé. Le seul à lui redonner espoir. Le seul qui avait réussi à lui faire croire à un avenir meilleur. Il était devenu son essentiel... mais sa mère n'aurait pas compris, alors elle se contenta de dire : « Oui, c'est lui... ». Elle n'aurait peut-être pas du puisque sa génitrice donna un violent coup de volent et se gara près du trottoir, écrasant sa cigarette presque terminée à même le tableau de bord. Elle plongea son regard dans celui de sa fille et ouvrit la bouche : « Je t'ai dis quoi l'autre jour ? Ne t'ai-je pas ordonné de ne plus le voir ? Les garçons sont des salops, des connards, tu ne peux pas compter sur eux et encore moins accepter un cadeau de leur part. Je t'interdis de parler à ce Nolhàn, je t'interdis même de la regarder ou de penser à lui. ». Elle attrapa alors le collier et tira de toute ses forces dessus. Évidemment, Zorah tenta de l'en empêcher, mais la force d'une gamine de dix ans n'égalait pas celle d'une femme de plus de trente ans. « NOOONN ! ». La gamine regardait, la mort dans l'âme, le collier brisé dans les mains de sa mère. Son cœur se fendit en deux et elle sentit les larmes lui monter aux yeux. « Je t'interdis de pleurer. ». Sa mère était ferme, pas moyen pour elle de lui désobéir. Alors, la femme balança le collier par la vitre ouverte et démarra la voiture. Zorah s'enfonça un peu plus dans son siège, observant d'un œil mauvais ce tyran. Elle se fit alors une promesse qui resta graver en elle pour toujours : jamais, ô grand jamais elle ne serait comme sa mère. Plus tard, elle aura une belle vie, elle aura de l'argent, elle sera cette fille que tout le monde enviera... oui, plus tard, elle aura tous ce qu'elle voudra !

Chère Zorah,

Si tu lis cette lettre, cela veut dire que le pire est arrivé. Cela veut dire qu'en ce moment précis, je suis mort. Ce n'est pas vraiment une surprise, n'est-ce pas ? C'est pour ça que je prends le temps de t'écrire une lettre, à toi, juste à toi. Je me souviens parfaitement le jour où je t'ai vu pour la première fois. Tu avais quoi ? Dix-sept ans ? Tu paraissais si vieille pour ton âge. Si mature. Tu n'étais qu'une enfant. Une enfant qui en avait trop vécu pour son âge. Une vraie petite junkie. Et pourtant, dès lors que j'ai croisé ton regard, j'ai su qu'il était de mon devoir de te sauver. Bien sûr, tu n'as pas résisté aux avances d'un homme mûr à la fortune colossalement exquise ! J'ai toujours su que la seule raison pour laquelle tu t'es intéressée à moi la première fois, était ma richesse. Mais je ne m'en suis pas vraiment plaint. J'ai d'ailleurs cette illusion, cette étrange satisfaction qu'au fur et à mesure des années, tu t'es accrochée à moi. Oui, tu m'appréciais. Peut-être pas comme ton statut devait te donner le droit de l'être, mais tu m'aimais. Alors, nous nous sommes mariés. Tu étais comme cendrillon. Une vraie princesse désormais. Je crois que ce qui m'a fait tomber sous le charme, c'est ton esprit rebelle, cette liberté que tu avais malgré l'argent, malgré la bague qui pendait à ton doigt. Tu ne m'as jamais aimé comme une femme aime son mari, non, tu m'as aimé comme on aime un père finalement. Et d'ailleurs, où est-il celui là ? Tu ne m'as jamais raconté ton histoire, même si j'espérais chaque jour que tu le fasses. La seule trace était celle de ce Nolhàn. J'en étais jaloux. Je le suis toujours d'ailleurs. Sans savoir pourquoi, ce gamin avait touché ton coeur bien plus profond qu'aucun autre être humain n'est capable de le faire. Même moi je n'y suis pas parvenu. Retrouves-le. Oui, aujourd'hui je suis mort, mais ne te sens pas obligée de garder cette bague, je sais que tu veux l'enlever. Je te donne tout mon argent. Je refuse que mes frères en aient le moindre centime. Tu es la seule qui a été présente tout au long de ma maladie. Encore une fois, tu as été surprenante. D'une désinvolture extrême, mais je savais que ça te touchait. J'ai toujours su lire en toi, malgré le fait que chaque jour, tu me surprenais un peu plus. Tu étais l'inconnue, la jeunesse, la vitalité... Je t'aime et que je t'aimerais toujours mais, je te rends ta liberté... Tu me manques déjà.

Adieu.
Adam.

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J'adore le titre de ta présentation Smile

Bienvenue

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Merci

Moi je suis fan de ton avatar. Il est trop beau.

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moi je veux bien venir dévaliser l'usine

Bienvenue

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MATT Oh oui viens avec moi dévaliser l'usine de kinder

Merci

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Bienvenue!
Je peux venir aussi? J'ai toujours adorer les jouets des Kinder Surprise!

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Merci. Oh oui tu peux venir aussi on va s'amuser comme ça. On partagera ce qu'on a volé. Plein de kinder et de surprises rien que pour nous mwahahah (a)

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Bienvenue

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CHRIS *-* Je peux te violer ? *sors loin*

Merci

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Bienvenue sur le forum & bon courage pour ta fiche ! I love you

Si tu as besoin de quoique ce soit n'hésite pas à contacter le staff. *-*

KIIIIIIINDEEEER omg

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Zorah A. Jenkins a écrit:: Merci

Moi je suis fan de ton avatar. Il est trop beau.

Han merci ça me touche sachant que je l'ai fait *0*

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Merci Lisbeth et je n'hésiterai pas à venir harceler le staff par MP si j'ai besoin.

Tu l'as fait toi même Aylin ? Tu es super douée, c'est magnifique.

Âge

Merci beaucoup pom pom

Spoiler:

Âge

Bienvenue ici omg

Bon courage pour ta fiche

N'hésite pas à contacter le staff au moindre problème ^^

Aylin c'est magnifique ce que tu fais omg

Âge

C'est gentil Alexander, j'adore faire des avas animés ces temps ci *.* *ok je stop le flood*

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OMG Je t'aime déjà toi. Je viens d'arriver et tu me fais un beau cadeau. :O Il est magnifique, je le met de coté et je le mettrai dès que je changerai.

Merci Alexander.