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EDWIN ◊ c'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles.

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MessageSujet: EDWIN ◊ c'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles. EDWIN ◊ c'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles. Icon_minitimeJeu 27 Oct - 21:15


Edwin-Liam Warren Howard

« C'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles. » Emerson.
EDWIN ◊ c'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles. I1emw8
nom ৩ Howard. prénom(s) ৩ Edwin-Liam Warren. surnom(s) ৩ Les gens le connaissent rarement assez pour pouvoir lui en attribuer un. âge ৩ 28 ans. date et lieu de naissance ৩ 13/05 dans un petit village Brésilien à côté de Pirapora.  statut civil ৩ Célibataire.  études/métiers ৩ Tueur à gages, même s'il fait une pause.  groupe ৩ écrire ici. célébrité ৩ Matthew Bomer
EDWIN ◊ c'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles. 14o7m6w


Dans cette partie, tu pourras marquer les choses qu'il faut savoir sur ton personnage. Par exemple, son caractère mais aussi sa couleur préféré, ses tics, etc.. Merci de supprimer ce message.
il est méticuleux, il pense à tout, il le faut bien dans son métier Ϟ il pense à une reconversion, peut-etre dans le vol, il était plutôt doué pour ça Ϟ il déteste que du sang américain coule dans ses veines, il se fait une très mauvaise image du père qu'il n'a jamais connu Ϟ il a plusieurs cicatrices dû à son passé dans la milice : une balle lui a traversé l'épaule et une fine marque sur le pectoral droit, sont les plus visibles Ϟ il déteste ressentir quoi que ce soit, ça rend les choses bien plus difficiles, et pourtant ce n'est qu'un homme au fond Ϟ il se sent bien dans le noir, il aime la nuit Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ chose à savoir Ϟ


→ ES-TU HEUREUX DE VIVRE A BARROW EN SACHANT QUE LE CLIMAT EST CONTRAIGNANT ?
Oui et non. Dans un sens, se couper du monde n'est pas une si mauvaise idée, mais en même temps, j'ai été beaucoup plus habitué à des climats chauds qu'à ce froid quasi permanent. Pas facile de s'y habituer. Si j'avais vraiment choisit ma destination, Barrow n'aurait pas vraiment été dans mes favorites.
→ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VIS-TU A BARROW ?
Depuis à peine un mois. Autant de temps que ???, évidement. Ou pas si évident que ça peut-être. J'aurais certainement dû arrêter de la suivre. Ca ne donnerait rien de bon de s'accrocher à elle de cette manière. Et pourtant. Comment la protéger si je suis trop loin d'elle ? Impossible.
→ QUAND LES TRENTE JOURS DE NUIT ARRIVENT A BARROW, RESTES-TU EN VILLE OU PRENDS-TU LE DERNIER AVION POUR UN AUTRE ETAT ?
A vrai dire, ça ne m'est encore jamais arrivé. Mais une chose est sûre, si ??? reste, je resterais. Vous savez quel est le meilleur moment pour tuer ? La nuit. Même si cela dépend des gens. Mais la nuit est plus propice aux meurtres. Alors une nuit de trente jours ?
→ QU'EST-CE QU'IL TE MOTIVE A RESTER DANS LA VILLE DE BARROW ?
Après tout ça, je pense que c'est assez évident. Elle. Cette femme trop.. Trop je ne sais quoi, pour que je puisse la laisser sans protection. Et pourtant, je la déteste pour être celle qui aura ravivé les sentiments que j'arrivais plus ou moins à bloquer auparavant.


PSEUDO/PRENOM ৩ Princess K, autrement dit, Katharina. ÂGE ৩ 19 ans. PAYS ৩ France. PRESENCE ৩ écrire ici. COMMENT AS-TU DECOUVERT LE FORUM ? ৩ écrire ici. QU'EN PENSES-TU ? ৩ écrire ici. TON PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO OU UN INVENTE ? ৩ Inventé. CODE DU REGLEMENT ৩ HAHA. UN PETIT MOT POUR LA FIN ৩ écrire ici. REMPLIR LE CODE CI-DESSOUS ৩
Code:
[color=#ad9588][b]AVATAR PRIS[/b][/color] Ϟ prénom p. nom




Dernière édition par Edwin-Liam W. Howard le Mar 15 Nov - 6:59, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: EDWIN ◊ c'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles. EDWIN ◊ c'est au coeur des ténèbres que l'homme voit le mieux les étoiles. Icon_minitimeJeu 27 Oct - 21:16




chapitre I.
→ ON NÉ DE FAÇON SI INSIGNIFIANTE. AU DÉPART ON EST RIEN, C'EST LE DESTIN, OU PEUT-ÊTRE SIMPLEMENT NOUS, QUI DÉCIDONS DE QUI ON DEVIENT.

Je crois bien qu'en vingt-huit ans, je n'ai jamais vraiment eu le choix. J'ai eu l'illusion de l'avoir, mais au final, ma vie est devenue quelque chose d'incontrôlable. Je suis né d'un père inconnu, et d'une mère brésilienne. Bien qu'on ne le remarque pas toujours au premier abord, je suis bien à moitié brésilien.. Malheureusement, j'ai prit les traits du salaud qui a mit ma mère enceinte, en lui promettant le firmament et qui lui a brisé le cœur pour rentrer tranquillement aux États-Unis, certainement dans sa jolie famille parfaite. En attendant, ma mère à eu un enfant sur les bras, et pas forcément toujours les moyens de l'élever correctement ou de lui apporter toute la nourriture nécessaire. Mais j'ai survécu. Déjà enfant, j'ai dû survivre, je n'ai pas eu le choix. Et puis j'ai grandit. J'ai commencé à me faire des amis. Je passais mes journée à Pirapora alors que j'avais huit ans. C'était normal. Monnaie courante dans les petites villes brésiliennes. On s'amusait à voler les commerçants, à faire des farces aux passants, on tentait de faire passer les heures sans ennui. Et puis cette école gratuite à été ouverte, et j'y suis allé. J'ai apprit à lire tardivement mais j'ai adoré ça. Le monde me semblait plus vaste que ma pauvre maison et Pirapora. Ça me semblait merveilleux, idyllique. Et j'ai rêvé d'évasion, de m'enfuir avec mes meilleurs amis, de visiter tous les pays du monde, sauf les États-Unis. Je m'étais promis de ne jamais mettre les pieds là-bas, mais évidement, je n'aurais pas le choix plus tard.



chapitre II.
→ ET PARFOIS, ON NE CHOISIT PAS. IL Y A CETTE INJUSTICE, CELLE QUI NOUS OBLIGE A DEVENIR DES GENS QU'ON RÊVAIT DE NE PAS ÊTRE. ON DEVIENT CE QU'ON A TOUJOURS HAÏT.

Treize ans. J'avais juste treize ans.. Et mes rêves de voyages et de tours du monde se sont envolé. Avec ceux de faire des études et d'aider ma mère au mieux. Elle a rencontré un homme. Il avait l'air respectable, mais ce n'était pas le cas. C'était loin d'être le cas. Il était le chef d'une milice brésilienne, qui venait régulièrement dans nos villages pour trouver de nouvelles recrues. Tout nouveau dans ses bottes de commandants, on a pas su tout de suite qui il était. Mais bien assez vite. Quand il m'a enrôlé en fait. Il a décidé que j'avais l'air assez déterminé, ou malléable peut-être, pour faire partie de leur monde. J'avais toujours craint que ça ne m'arrive à moi.. J'avais déjà un ami qui avait été choisit, et arraché à sa famille. Chaque jour je voyais ses parents effondrés. Leurs fils était venu leur rendre visite, et il avait changé. Il était dur, que ce soit par ses actes ou ses paroles. Et je ne voulais pas devenir comme lui. Mais je n'ai pas eu le choix. J'ai reçu des coups, et on m'a bourré le crâne avec des tas de théories contre le gouvernement. J'ai écouté, et j'ai appris à les croire. J'ai appris aussi à faire du mal aux autres, à faire disparaitre mes émotions, ou du moins les faire taire le plus possible. J'ai appris à obtenir les informations que je voulais et j'ai même eu des entrainement pour résister à la torture. Pas des moments de plaisirs, en somme. Et puis, cette fille est apparue dans ma vie. Une jeune anglaise, d'un an de moins que moi -j'avais alors seize ans-, qui avait été enlevée à sa famille pour demander une rançon. Ses parents étaient connus pour être riches, c'était l'occasion. J'ai dû la surveiller. Elle était belle, mais pas seulement. Elle était aussi bavarde, et têtue. Elle ne se laissait pas faire, elle répondait aux miliciens, quitte à se prendre des coups. Elle avait l'air si forte, si invincible.. Et puis une année est passée. Les miliciens attendaient toujours plus des parents, et elle commençait à être de leur côté. Elle m'a dit même commencer à haïr ses parents pour le peu d'importance qu'ils accordaient à l'argent, alors que pour d'autre ce serait si important. Elle a commencé à rejoindre les idées de la milice, comme j'avais moi-même cédé quelques années auparavant. Je ne pouvais la blâmer, sinon de devrais me blâmer également. Elle est sortie de sa cage pour rejoindre nos rangs. Elle est devenue cette fille implacable et sûre d'elle que j'ai apprit à connaitre, changeant du tout au tout.. Mais elle n'a pas arrêté de me fasciner. Je savais que je pouvais compter sur elle comme elle avait toujours compté sur moi. Quatre ans plus tard, nous nous sommes enfuis. Nous avons rencontré ce type, qui nous a engagé comme tueurs à gages, et nous nous sommes tous les deux biens débrouillé. Et perdu de vue par la même occasion.



chapitre III.
→ ON DIT QU'IL Y A TOUJOURS UNE FEMME. AU FOND CA DOIT ÊTRE VRAI. J'AI ENTENDU DIRE QUE LES FEMMES ÉTAIENT LE POISON DONT ON AVAIT BESOIN POUR VIVRE.

Elle m'a même manqué, cette blondinette au caractère de feu. Elle m'avait promis qu'on se reverrait un jour. Je l'avais cru, et je n'avais jamais perdu espoir de la revoir un jour. J'ai porté plusieurs casquette : voleur, tueur, garde du corps, homme de main.. J'ai vogué sur tous les tableaux, ou presque, illégaux. Et puis mes pas m'ont menés aux États-Unis, où j'avais pourtant juré de ne jamais mettre les pieds. Je l'ai fait, et je n'ai pas regretté. J'ai retrouvé mon père. Je ne l'ai pas tué, non. Ni torturé. J'ai juste ruiné sa vie, sa petite famille parfaite. J'ai monté tout de monde contre lui et il s'est retrouvé seul au monde, sans un rond, comme ma mère avait dû se sentir lorsqu'il l'a abandonné. Et puis, j'ai eu ce contrat. Le contrat qui changera tout. Elle était belle, mais cela n'importait pas. Je devais trouver certaines informations, et la tuer, pour que personne d'autre n'y ai accès. Alors, pour la première fois, j'ai dû jouer un rôle. Charmer, sourire, laisser paraître des sentiments que je ne ressentais pas.. Et puis le jeu et devenu plus réel sans que je m'en rende compte. La petite météorologue cachait des projets plus secrets : elle travaillait à des robots espions qui pouvaient résister à n'importe quelle conditions météorologique, ou presque. J'ai trouvé ces infos, j'en ai fait part à mon commanditaire, c'était ce qu'il cherchait. Il ne me restait plus qu'à exécuter le contrat, éliminer la cible. Une nuit, alors que j'étais chez elle et qu'elle dormait à point fermé, j'ai attrapé mon arme. Ma préférée, avec un silencieux. J'ai contourné le lit, et j'ai pointé l'arme sur elle. J'allais appuyer sur la gâchette, je le jure.. Mais sont revenues toutes ces images d'elle : en train de rire, en train de danser, en train de me sourire, les nuits que l'on avait passé ensemble, la photo de nous que j'avais trouvé en fouillant ses affaires pour débusquer les informations demandées.. Si j'avais appuyé tout de suite sur la gâchette au lieu de m'attendrir devant face à des souvenirs, elle n'aurait pas ouvert les yeux. Plus jamais. Mais là, elle les avait ouverts. Et elle braquait son regard dans le mien, me retirant tous mes moyens. Elle avait tout changé. Et c'est seulement à ce moment là que j'ai compris que je ne pourrais pas, jamais. Pas elle. C'est à ce moment là que j'ai compris que tout avait changé, que j'avais des sentiments pour elle. J'ai baissé mon arme. A quoi tu joues, Edwin ? Tu ne vas pas me tuer ? Elle ne m'avait pas lâché du regard. Elle s'est assise dans son lit, et j'ai cru voir des larmes perler aux coins de ces yeux que j'aimais tant. Si tu ne me tues pas, dégages. Je ne veux plus jamais te voir. Je suis parti, impuissant. Et elle ne m'a plus jamais revu.



chapitre IV.
→ ET PUIS ON TENTE DE DEVENIR QUELQU'UN D'AUTRE, PEUT-ÊTRE QUELQU'UN DE MEILLEUR. OU ALORS ON TENTE JUSTE DE NE PAS FAIRE UN CHOIX QU'ON POURRAIT REGRETTER, EN CE MARTELANT QUE C'EST POUR UNE AUTRE RAISON QUE L'AMOUR.

Quatre mois. C'était le temps depuis lequel je la suivais sans qu'elle le sache. C'était le temps depuis lequel elle ne m'avait pas vu. J'avais exhaussé son souhait, mais je ne pouvais tout simplement pas la laisser sans protection. Certes, je n'allais pas la tuer, mais cela ne voulait pas dire que mon commanditaire avait abandonné l'affaire. Il ne m'avait pas seulement embauché pour les informations. Alors je me devais de la protéger. J'avais déjà éliminé un type envoyé par ce monsieur Halfberg. Je savais qu'un nouvel envoyé était arrivé en ville, mais je n'avais pas encore trouvé qui cela pouvait être, il était très discret, bien sur ses gardes. Mais il allait falloir que j'agisse et vite, parce que personne ne devait s'en prendre à Zooey.



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