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Winnie Carlton

featuring blake lively

« Et si je souriais, je me jetais dans vos bras. Verriez vous alors ce que je vois maintenant ? »

nom ৩ Carlton. prénom(s) ৩ Winnie. surnom(s) ৩ Blondie, ou tout simplement Winnie. âge ৩ Vingt-trois ans. date et lieu de naissance ৩ Sept juin mille neuf cent quatre-vingt-huit, à Barrow. statut civil ৩ écrire ici. études/métiers ৩ Barmaid. groupe ৩ J'avance dans l'hiver à force de printemps. célébrité ৩ Blake Lively.

→ ES-TU HEUREUX DE VIVRE A BARROW EN SACHANT QUE LE CLIMAT EST CONTRAIGNANT ?

D'aussi loin que j'arrive à me souvenir, j'ai toujours vécu à Barrow et jamais je n'ai eu à m'en plaindre. J'ai grandis dans ce froid glacial, dans cette épais manteau blanc, je suis une habituée, j'arrive très bien à supporter. Et puis pour vivre entouré de si magnifiques paysages, de gens si chaleureux, ça vaut le coup. Si pour certains le climat est une barrière, pour moi il en est autrement. Je suis une battante après tout, ce n'est pas quelque pieds de neige, trente jours passés dans la noirceur ni-même d'horribles froids qui risque de me faire partir. C'est chez-moi ici, c'est toute ma vie et je sais que n'importe ailleurs qu'à Barrow, je ne serais que dépaysée.

→ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS Y VIS-TU ?

Depuis toujours, tout simplement. Ma mère est née ici, sa mère est née ici et c'est la même histoire pour mon père, c'est un peu une histoire de famille, quelque chose du genre du moins. Je crois d'ailleurs que la seule personne ayant échappé à cette règle ou tradition, dites-le comme vous le voulez, c'est Polly, ma grande soeur. À croire qu'elle ne supporte pas cette température, elle est partie plutôt jeune. Néanmoins, j'y suis depuis toujours pour toujours. J'y serai encore à trente ans, à quarante ans et même sur mon lit de mort. Je ne pourrais jamais partir d'ici, ça me tuerais. Pour tout l'or du monde, je ne le ferais même pas.

→ QUAND LES TRENTE JOURS DE NUIT ARRIVENT A BARROW, PREFERES-TU RESTER OU PRENDRE L'AVION POUR UN AUTRE ETAT ?

Je reste, quelle question. Suffit de s'habituer à ses trente jours de noirceur et au bout d'un moment, ça ne semble plus si dramatique ni même horrible. Trente jours sous les étoiles, trente jours à apercevoir la lune, trente jours à avoir cette chance d'apercevoir quelque aurores boréaux. Toute manière, faudrait être fou pour quitter la ville durant trente jours simplement parce que d'y passer ces sept cent vingt heures sous la nuit totale c'est trop. Certes le soleil vient parfois à me manquer durant ce temps, mais je m'habitue et puis trente jours, c'est plutôt vite passé quand on s'occupe.

→ QU'EST-CE QUI TE MOTIVE A RESTER DANS LA VILLE DE BARROW ?

Tout, et rien. Je ne sais pas réellement ce qui m'accroche à Barrow mais une chose est certaine, c'est puissant. C'est froid, peu peuplé et pourtant, j'y suis accroché. Peut-être est-ce cette amabilité des habitants, ce lien que j'ai avec bon nombre d'entre eux pour les connaitre depuis toujours. Peut-être est-ce la beauté des paysages, l'originalité du coin où peut-être est-ce tout simplement du à ma légère haine envers les grosses villes, mais j'aime Barrow, j'adore pour tout dire.

PSEUDO/PRENOM ৩ écrire ici. ÂGE ৩ écrire ici. PAYS ৩ écrire ici. PRESENCE ৩ écrire ici. COMMENT AS-TU DECOUVERT LE FORUM ? ৩ écrire ici. QU'EN PENSES-TU ? ৩ écrire ici. TON PERSONNAGE EST-IL UN SCENARIO OU UN INVENTE ? ৩ écrire ici. CODE DU REGLEMENT ৩ écrire ici. UN PETIT MOT POUR LA FIN ৩ écrire ici.

Code:: [color=#9c8a6e][b]BLAKE LIVELY[/b][/color] → winnie carlton.

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Everybody loves you when you're six foot in the ground.

« C'est ridicule. Non, encore mieux, vous êtes ridicule, voilà. » Les bras entre croisés contre sa poitrine, jambes repliés sous elle, c'est à peine si elle osait croiser son regard, à peine si elle osait prononcer le moindre mot. S'il y avait un endroit qu'elle détestait sur terre, c'était bien ce bureau, ce canapé inconfortable et cette horloge peut-être un brin trop bruyante. « Humm. » Le regard rivé sur son bloc de papiers, la main qui se baladait de gauche à droite, la dame ne semblait pas prendre confiance qu'elle n'était pas seule, que quelqu'un attendait sagement face à elle. « Vous parles français dites ? Non parce que sinon je vais partir, ça ne me dérange pas du tout. Je manque un cours super important pour venir ici et vous, tout ce que vous trouvez à faire, c'est gribouiller de petits coeurs sur vos feuilles blanches. C'est bien ce que je disais, ridicule. » Contrairement à son habitude, son ton de voix se voulait froid, distant et voir même méchant. Elle n'en avait rien à foutre de cette vieille mégère, rien à foutre de ces vieux dictons de psychologues raté. Tout ce dont elle avait envie, c'était de retourner chez elle, de se faire couler un bain chaud et de lire le tout dernier roman que son crétin de frère lui avait acheté. « C'est la procédure à suivre mademoiselle Carlton. Vous vous en êtes violemment prise à une autre étudiante et la condition pour ne pas vous renvoyer, c'est de me rencontrer une fois par semaines. Ne vous inquiétez pas, le tout se déroulera très rapidement, vous ne verrez même pas le temps passer. » Dans un soupire, la rouquine roula légèrement des yeux avant de passer doucement une main dans ses cheveux. Elle avait mieux, beaucoup mieux à faire et puis si elle avait frappé cette autre idiote, c'était pour une raison, une raison valable et personne n'allait pouvoir dire le contraire. À l’exception fait de cette vieille bique assise face à elle, peut-être. « Débutons alors. » Elle prit une nouvelle pause, prenant le temps pour gribouiller quelques conneries puis, tout en se raclant la gorge, lançant un regard qui se voulait doux à la belle. « Que s'est-il passé avec Sasha ? » Au ton de sa voix, on aurait pu penser à une question de vie ou de mort, tant le désespoir y était présent. À croire que c'était elle la dingue de service. « Je lui ai assené un coup de point en pleine gueule, elle à saigné et est partie en furie, voilà tout. Maintenant je peux partir ? Non parce que je dois aller changer la cage de mon furet, il serait vraiment temps que le netto ... » « Mademoiselle Carlton, un peu de sérieux. Je ne veux pas savoir si elle saignait ou non, je veux savoir ce qui vous à passé par la tête à ce moment là. » Un grand sourire aux lèvres, fière d'avoir mit la psychologue de l'école en colère, après seulement dix minutes, Winnie secoua légèrement la tête, essayant tant bien que mal de se débarrasser de ce fier sourire. Elle était moqueuse, elle avait toujours été moqueuse et à priori, c'était ce qui constituait son charme. Au bout d'un certain moment, un lourd silence s'installa, le genre de silence froid, voir même glacial qui avait pour but de rendre mal à l'aise la belle rouquine, question qu'elle se dévoile, qu'elle s'explique ou qu'elle se vide le coeur tout simplement, mais en vain. Elle se contenta de laisser glisser ses doigts au travers sa longue crinière blonde, absorbé par comme s'il s'agissait d'un tout nouveau plaisir. « Vous savez, il ne nous reste déjà plus beaucoup de temps et j'aimerais bien qu'on avance un peu. De cette manière, ça écourterais vos semaines à passer ici. » À ces mots, les yeux de Winnie s'illuminèrent d'un coup. Elle aurait fait n'importe quoi ne serait-ce que pour se débarrasser d'elle au plus vite. « Elle s'était moqué de moi, de ma famille pour être plus précise. » Comme s'il en s'en foutait, ou que ça ne lui faisait pas le moindre effet, la vieille se contenta de hocher la tête, le regard toujours concentré sur son paquet de feuilles. « Vous voulez bien me dire ce que vous notez ? Non parce que je commence à croire que vous jouez peut-être au tic-tac-toe en solo et ça, c'est plutôt étrange. N'empêche, je peux terminer cette partie avec vous et ensuite zoooum, je disparais. » « Décidément, vous êtes incapables de prendre quoi que ce soit au sérieux, je me trompe ? Est-ce votre façon d'éviter les sujets sérieux, d'éviter un sujet en particulier peut-être même. Vos parents ? » Cette fois, elle venait de dépasser les limites. Si Winnie avait toujours été du genre à garder le sourire, à sembler se foutre de tout et de rien, ses parents étaient pourtant resté un sujet tabou depuis leur départ. Elle n'avait jamais aimé en parler et encore moins s'en faire parler par des gens qu'elle connaissait peu, voir même pas du tout. Ce sourire si fier qu'elle portait au bout des lèvres quelques secondes auparavant s’effaça peu à peu, laissant place à un regard vide d'expressions, si ce n'était que de ses yeux qui la trahissaient quelque peu. De grands yeux verts-marrons, noyés par le chagrin, par la douleur. À son grand dame, elle venait de toucher une corde sensible. « Qu'est-ce que ça peut bien vous faire ? » Sa voix tremblait et tant bien que mal, la belle essayait de garder la tête froide. Elle ne pouvait pas flancher, pas devant cette débile de première classe. « Je suis là pour vous aider. » Seulement, elle n'avait besoin d'aucune aide. Sa vie allait bien, parfaitement bien. Elle était ce drôle de phénomène, cette fille étrange qui ne faisait rien comme les autres, qui gardait toujours ce sourire et qui malgré son coté quelque peu étrange, savait plaire au gens. La tristesse ne la ravageait pas continuellement, elle avait continué à vivre, elle avait finit par passer au travers ou du moins, à retrouver ce doux sourire. Certes elle s'était légèrement emporté, elle avait défait le nez d'une pauvre conne, mais la jolie n'avait fait que se défendre, défendre ce qui pouvait bien rester de sa famille. « Vous ne comprendrez donc jamais que je vais bien ? Oh oui je lui cassé le nez, elle s'est barré et ça ne m'étonnerai guère que son père téléphone chez-moi ce soir, j'en suis consciente. Mais vous savez quoi ? Je n'éprouve aucuns remords, pas la moindre culpabilité. Mes parents sont décédés, mots, envolés et cette pauvre petite Sacha, elle s'est permise de tourner le tout à son avantage, elle s'est permise d'en faire une blague, une futile connerie, comme si ça la faisait rire. Elle avait qu'a pas faire chier. J'imagine que vos parents sont toujours en vie, je me trompe ? J'imagine que j'ai raison remarquez puisque si vous devriez vivre chaque jours avec cet immense vide, vous verriez certainement les choses d'une autre manière. Je vais bien et cette conasse, elle l'a cherché. Fin de l'histoire, fin du rendez-vous. » Elle se leva d'un bond, à nouveau fière de lui avoir cloué le bec, comme elle savait si bien le faire. « N'empêche, je dois avouer que c'était très stimulant, merci beaucoup. » Un sourire à nouveau perché aux lèvres, elle s'empara de son sac et fila à la porte avant de se tourner une dernière fois vers son interlocutrice. « Je suis sincèrement désolé de vous laisser ainsi, mais mon furet attend après moi. Le pauvre baigne dans la saleté. » Moqueuse un jour, moqueuse toujours dit-on.

quinze décembre deux mille onze.
❝ Je crois que la glace au chocolat que j'ai mangé ce midi n'en était pas réellement. Je pense plus à du yogourt glacé, ou du sorbet peut-être, qui sait ? Qu'est-ce que ça change, c'était tout de même un paradis pour mon palais, alors à quoi me plaindre. Deux semaines après ce désastre que s'est avéré être mon rendez-vous avec la psychologue du lycée, cette dernière n'a toujours pas téléphoné ici. D'ailleurs, il en est de même pour le directeur et pour cette Sasha. Ne suis-je pas si chanceuse ? Enfin, je suis sans doute la seule à penser ainsi puisque aux yeux de Polly, je suis un désastre ambulant. Une pauvre enfant immature et égoïste. Non mais elle se prend pour qui ? D'accord j'ai tendance à agir sans penser, je l'admets, mais est-ce une raison pour être aussi chiante ? À mon avis, ça n'a pas marche, elle s'est ramassé un râteau hier et ainsi, elle refoule toute sa colère sur moi. Peut-être m'en veut-elle tout simplement parce que j'ai agis en idiote en frappant cette fille aussi. Décidément, cette histoire ne me lâchera pas. Elle insulte mes parents, ou devrais-je dire mes parents décédés et moi, je récolte toute la merde. Je vais être franche, je commence à trouver que l'on vit dans un monde de merde. Mais bon, gardons le sourire, ne perdons pas espoir et allons manger d'autre sorbet, ou yogourt glacé, enfin un truc glacé quoi. ❞

février deux mille sept.
❝ Note à moi-même pour la prochaine cuite que je me prends: Se coller un poisson congelé sur le front n'enlèvera en aucun cas le mal de crâne. De plus, l'odeur reste longtemps. Autre note à moi-même, la margarita, c'est à prendre avec modération. Je n'aurais pas du boire autant, je n'aurais pas du autant faire la fête sans me soucier du lendemain. En ce moment, je préfèrerais lutter avec un porc dans la boue plutôt que d'être dans un tel état. D'ailleurs, je me relis et je ne suis même pas certaine d'être complètement dégrisée. C'est vrai, qui souhaiterais se battre avec des porcs ? Bon, focus Winnie. C'est peine si j'arrive à me souvenir de ma soirée d'hier. Si ce n'est que de quelque détails super flou, dont un en particulier qui malgré mon envie qu'il parte, ne cesse de me revenir en tête. J'ai embrasse Luke, encore. Décidément, l'alcool n'a pas un bon effet sur nos pulsions. Il est mon ami d'enfance, mon pote, tout comme le frangin sympa que je n'ai jamais eu. Je le dis chaque lendemains de veille, mais je dois réellement arrêter de me laisser aller, ou de trop boire simplement. Je vais finir par embrasser la vieille dingue qui vit pas trop loin d'ici et pour être franche, bien qu'elle fasse les meilleurs biscuits qui soient, j'en ai pas très envie. Sinon, fait étrange, Polly n'était pas là mon réveille ce matin. Elle qui habituellement, passe ses dimanches après-midi enfermer dans le salon, des vieux bouquins nuls entre les mains. N'empêche, qui suis-je pour me plaindre ? Du moment que je ne l'ai pas dans les pattes, ça me va. Méchante ? Peut-être, mais elle me rend dingue, complètement dingue même. Oh j'aurais aimé avoir une merveilleuse entente avec elle, j'aurais aimé pouvoir l'adorer, la vénérer ou je ne sais quoi, mais j'en suis incapable. Cette fille, elle me pourrit l’existence et pourtant, ça m'en prends énormément pour venir à bout de quelqu'un. Un jour, un jour peut-être finirons-nous par nous entendre mais pas tout de suite, non je dois aller bosser. Le pub ne m'attendra pas éternellement. ❞

Âge

BIENVENUE PARMI NOUS ET BON COURAGE POUR TA FICHE
Très bon choix d'avatar ! Même si je n'aime pas Blake, je dois avouer qu'elle est très belle ^^
Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite surtout pas !
le gif de raiponce en plus

Âge

Bienvenue

Bon courage pour ta fiche mamamia

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Bienvenue et bon courage. I love you

Raiponnnnce omg

Âge

la petite raiponce I love you

c'est trop chou.
bonne chance pour ta fichounette.

Âge

Oooh le gif de Raiponce omg

Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche (:

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Merci beaucoup à tous. ♥
Pour l'avatar, j'avoue énormément hésiter avec Candice Accola aussi.

Âge

Winnie, c'est comme tu veux, Blake et Candice sont toutes les deux libres ^^. Mais j'avoue que j'ai une préférence pour Blake personnellement ♥

Invité welcome on barrow “ Invité

Je crois que je vais garder Blake, j'aime beaucoup Candice mais je la joue sur plusieurs forums et si je la prends une nouvelle fois, j'ai peur de me lasser. Je suis aussi bien d'y aller avec Blake, ouais. Merci beaucoup. ♌ YELLOW SUBMARINE. 780422

Âge

ton choix a l'air fait, mais sache que prendre Blake Lively engendra ma dévotion éternelle et des risques de ce qu'on qualifie dans le langage courant de harcèlement sexuel à répétition de ma part sex